Résistance et déportation

La négation de l'homme dans l'univers concentrationnaire nazi

le 26-04-2017 22:33

Conclusion

Lors de la guerre de 1939-1945, une idéologie inhumaine a dirigé le monde entier: l'idéologie nazie. Celle-ci, guidée par son leader Hitler, avait pour objectif, en embrigadant le plus de monde possible, de déshumaniser et tuer une "race" entière en l'enfermant et en la privant de tous ses droits, la réduisant au rang d'animaux. 

Même si cette idéologie a fait des choses horribles, l'humanitée a finit par vaincre grace aux nombreux mouvements de résistances et procés effectués. 

 


Commentaires

 

1. biquette  le 11-06-2017 à 10:17:17  (site)

Bonjour , je trouve que tu as du courage de faire ces articles , car il est tout de méme nécessaire de faire en sorte que les jeunes sachent que d'autres ont terriblement souffert a cause de ces guerres atroces et surtout il faut honnorer la mémoire de ceux qui en sont mort ...Je pense qu'il faut y etre passé pour vraiment comprendre , car ceux qui en sont revenus doivent avoir beaucoup de mal pour s'en remettre ...Je sais de quoi je parle , car j'ai demeuré a côté du Mont Valerien et crois moi de voir passer des gens marcher pour aller l'abattoir , ça marque méme pour une enfant et c'est mon cas ...Alors je viendrais lire tes articles car ça doit étre lu par tous , .afin d'éviter que ça recommence et là ce serait bien pire ..Merci a toi A++++Lili

2. biquette  le 06-07-2017 à 11:58:18  (site)

Bonjour j'espérais un nouvel article aussi beau que les autres , de toute façon tu es dans mes favoris alors j'attend.......a++++Lili

 
 
 
le 26-04-2017 21:34

Une résistance libératrice

Malgrè le fait que cette époque aie été une époque relativement affreuse et traumatisante pour beaucoup, nous avons réussi à nous en sortir grâce à plusieurs facteurs, le premier étant les groupes de résistants. Ces groupes ont longtemps été détruits par le régime totalitaire d'Hitler mais les efforts ont finis par payer. L'objectif était de se liguer contre le régime et regrouper le plus de résistants. Il fallait faire en sorte que les gens se rendent compte de l'abomination des idées et procédures d'Hitler. Il fallait réagir. Ensuite, la justice après la guerre a aidé de nombreuses personnes à se remettre de ce qu'ils avaient vécus et la mémoire qui continue encore de nos jours nous aides à nous souvenir de nos erreurs afin de ne pas les reproduire.
 


 
 
le 26-04-2017 21:27

Lutter pour survivre

Les conditions de vie étaient tellement rude que pour survivre les prisonniers avaient tendance à perdre leur humanité et devenir égoiste mais ce n'est pas une manière de vivre et certains essayaient ainsi de s’adapter aux conditions du camp, aux règles et aux tacites; Ils gardaient leur humanité, leur dignité ainsi que leur force en résistant et luttant pour survivre seul ou en groupe. L’essentiel était l’entraide et la solidarité pour garder une quelconque estime de soi et des autres. Ils aidaient les autres pour les empêcher de se faire tuer (conseillaient autrui), réconfortaient les autres et leur remontaient le moral, partagaient la nourriture.

 

Pour résister à la torture et au désespoir les malheureux se réunissaient afin de discuter littérature, art, peinture, musique, … Ils dessinaient, chantaient et organisaient des petits spectacles. Ils faisaient même du sport. Certains essayaient de résister dans les camps avec l'intention d’affaiblir la machine de guerre allemande (ralentissement du travail, sabotages des lieux de travail) mais c’était risqué. 

 


 
 
le 26-04-2017 21:05

Les conditions de vie des camps de concentration

L’arrivée dans le camp était rude mais le pire était les conditions de vie des prisonniers. Leurs conditions de travail étaient plus que démoralisantes. Ils devaient par exemple porter des pierres en les ramenant à leur point de départ. Le travail qu’ils faisaient était inutile et épuisant. Tout était organisé et administré par les SS (eux même commandé par Heinrich Himmler), ils pouvaient être très violents avec les prisonniers et parfois même ils les mutilaient. Ils les punissaient lorsqu’ils n’obéissaient pas en les privant de nourriture ou en les fouettant.


Ils étaient très peu nourri et donc s'affaiblissait facilement mais si l’un d’eux devenait trop faible, tombait malade ou se blessait, il devenait inutile pour le régime nazi. Il était considéré comme inapte au travail et était tué. Cependant certaines personnes qui ne pouvaient pas travailler étaient gardées pour qu’on les étudient. Ainsi, on faisait des expériences sur des enfants, des jumeaux ou sur certaines femmes ayant entre 20 et 30 ans. Ces expériences étaient pratiquées dans l'illégalité la plus totale.


Les prisonniers perdaient la notion du temps car ils n’avaient aucun moyen de se repérer, ils n’avaient rien qui pouvait indiquer l’heure ou le jour. Ils oubliaient qui ils étaient car ils n’avaient plus rien pour se différencier des autres et ils oubliaient la compassion à cause de la mort qu'ils voyaient autour d'eux à longueur de journée.


Plus les nazis envahissaient de nouveaux territoires, plus ils créaient de nouveaux camps et internaient de nouveaux prisonniers. Cependant l’augmentation du nombre de prisonnier a aggravé les conditions de vie des prisonniers, la pénurie alimentaire et la situation sanitaire.


 


 
 
le 26-04-2017 13:45

La déshumanisation

De la création de ces camps de concentration et d'extermination découle le commencement d'un processus de déshumanisation visant, comme son l'indique, à déshumaniser l'humain ? Des groupes de personnes, voire même la population allemande entière, étaient endoctrinés à tel point qu'ils traquaient les juifs comme du gibier. Toutes ces actions sont aussi dûe à la propagande que Hitler avaient installée afin d'effrayer les gens et les railler à sa "cause". 

 

Les individus victimes de cette horreur n'était pas considérés comme des hommes mais comme des couleurs. On a pu retrouver plusieurs affiches avec des slogans comme : "Un noir catholique, mais noir", "Un chinois catholique, mais jaune", ou encore "Un juif catholique, mais juif". Ces affiches sont aujourd'hui considérées comme absurdes mais à l'époque, elles étaient très prises au sérieux.

 

Grâce à certains témignages d'anciens déportés, nous pouvons en apprendre davantage sur les abominations réalisées afin de déshumaniser les populations de déportés. C'était sordide. A leur arrivée, ils étaient déshabillés, ainsi que tatouer afin que leur nom se transforme en chiffre, comme on étiquetterait un article du commerce. L'Homme était vu comme un animal, un objet. Il perd son identité.

 


 
 
 

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